De l’élocution.
Parler c’est bien, se faire comprendre c’est mieux. Avez-vous remarqué comme nos propos peuvent prêter à confusion ? Particulièrement quand nous employons des adjectifs possessifs. Ainsi, par exemple, t’ais tu, qu’ai-je entendu tes tus ou têtu ? et chacun d’embrayer sur des voies différentes. Question d’habitude, c’est du très courant. Mais le malentendu peut se révéler beaucoup plus gênant. Si je parle de mon ton (ma voix). On pourrait se méprendre « non, je ne veux pas monter avec vous ». Waouh si on m’avait dit oui ! Je vous propose donc, durant ce mois de janvier, d’apprendre à maîtriser votons, pardon, vos tons. Et n’oubliez surtout pas d’articuler.