Le rose bonbon.
Jacques Brel chantait « Rosa, rosa, rosarum, rosae, rosa, rosarum, rosis, rosis » et c’est là que l’on s’aperçoit qu’il y a des épines aux Rosa. Eh oui, tout déconfit lorsqu’on s’est fait bouler, envoyer sur les roses. Consolation avec Ronsard, il l’affirme les roses ne durent que l’espace d’un matin. Dès l’après midi on peut frétiller comme un gardon, frais comme une rose. On ne se laissera plus piquer au cœur. Cochon qui s’en dédit. Finies, terminées toutes ces histoires à l’eau de rose. A arroser sans excès, on n’offre pas cirrhose à la nouvelle, déjà avec l’arthrose il va falloir s’accrocher sec…Ah cette jeunesse toujours à vouloir coûte que coûte franchir la ligne jaune,… au prochain article.